L’art et la vie

Edgar Vercelloni

p. 35-42

Citer cet article

Référence papier

Edgar Vercelloni, « L’art et la vie », Revue Quart Monde, 266 | 2023/2, 35-42.

Référence électronique

Edgar Vercelloni, « L’art et la vie », Revue Quart Monde [En ligne], 266 | 2023/2, mis en ligne le 01 décembre 2023, consulté le 28 avril 2024. URL : https://www.revue-quartmonde.org/11049

Contribuer à écrire un nouveau récit de société, c’est prendre le temps. Il faut savoir être enthousiaste pour résister à l’appel du toujours plus qui nous détourne de l’essentiel. À la bibliothèque de rue de Noisy-le-Grand, on prend le temps de faire résonner le livre avec d’autres formes artistiques. Des années à dessiner avec les enfants. Deux ans que l’auteur peint, qu’il cherche à raconter. Raconter quoi ?

Installée au pied d’un hôtel social et animée par une petite dizaine de bénévoles, la bibliothèque de rue de Noisy-le-Grand est fréquentée par des enfants entre six et douze ans. Aux beaux jours, le groupe peut monter jusqu’à trente. Le foot et les mangas se mêlent à la littérature, aux poèmes, aux dessins.

Il n’y a aucune raison de penser
que certains seraient capables d’entrer dans le monde
des relations et de la créativité,
alors que d’autres en seraient bannis.
1

J’aime beaucoup ces propos de J. Wresinski. Certains pourraient y voir la puissance de l’Art Brut. J’y vois plus que cela. Pour l’illustrer, j’aimerais vous emmener à travers deux instantanés de cette bibliothèque. Le premier s’intitule Peindre. Il relate la visite d’une exposition à Paris. Le second se nomme Dé‑peindre. Il raconte un atelier d’écriture dont l’idée était de dépeindre ou plutôt décrire un personnage et une ville.

Alors allons-y, j’ouvre l’album des souvenirs.

Peindre

Boubacar, Chakib et les autres se moquent toujours un peu de Vansh. Lui qui parle tout seul et dessine inlassablement des RER tous les samedis tandis que les autres garçons jouent au foot et que nous leur lisons des histoires entre deux parties. Le comble de la joie : être dans les transports avec nous. Vansh me tire par la manche. Monsieur ! Je ne comprends rien à ce qu’il raconte. J’entends « métro parisien », je distingue le nom des stations qu’il égrène, ravi. J’acquiesce. Il rit.

Nous organisons une sortie aujourd’hui. C’est exceptionnel. La bibliothèque de rue sort de sa rue en quelque sorte. Une bibliothèque hors-les-murs dirait-on si nous étions célèbres. Sauf que nous n’avons pas de murs. Enfin pas de toit plutôt. Des murs, il y en a plein au pied de l’hôtel social où l’on pose les couvertures sur le trottoir, tous les samedis. Aujourd’hui, c’est samedi mais nous allons à la médiathèque la, au centre de Paris. La médiathèque expose notre célèbre couverture de rue, cousue des tissus avec des dessins d’enfants, lavée, pliée avec soin par Brigitte ; des collages issus des dessins que nous avons récupérés, quelques poèmes et mes propres peintures. Un projet qui me tient à cœur. Peintures et dessins de rue. Pour fêter ça, la médiathèque a invité les enfants à goûter et nous a proposé d’organiser l’activité de notre choix. Nous avons choisi le flocage sur t‑shirt.

La maman de Vansh se tient au fond du wagon avec sa fille Avneet. En moi-même j’appelle Avneet la jeune poétesse. Mais je ne lui dis pas comme ça. Avneet est très timide. Plus tard dans la journée, quand je leur ai demandé à toutes les deux si elles avaient vu l’exposition avec le poème d’Avneet, elle a baissé la tête en souriant.

Pendant la nuit,
On voit les étoiles et la lune
Et le soleil prend leur place
Et les saisons se déplacent

Avant de venir, entre la séance du matin et notre sortie, Alexandra nous a questionnés sur notre auteur préféré. Intermède littéraire qui a vite dérivé vers les mangas. Parce que les enfants adorent. Drôle d’image de la société japonaise à la fois si poétique et névrosée avec ses cadences infernales, ses héroïnes hyper sexualisées. Nous y voilà, à nos résonances : le livre et le dessin. Les poèmes et la peinture. Le foot et les mangas.

Ânes est le plus jeune. Une voix d’ange. C’est la mascotte du groupe. Son frère lui tient la main, les autres ont du mal à rester près de nous. La foule du samedi empêche la petite troupe de demeurer groupée. Ils ont entre cinq et douze ans. Je les recompte. Seize.

Vansh me tient la main, nous marchons en tête avec Mohamed. Il me demande s’il est célèbre depuis que son portrait est accroché dans la Canopée. On rit. Plus tard je le prendrai en photo à côté du tableau. Nous avons des nouvelles de Yacouba sur notre groupe WhatsApp. Il est resté coincé juste avant de partir dans l’ascenseur capricieux de l’hôtel social. Il jurera plus tard que c’est la dernière fois qu’il le prend. Vous voyez, disent les mères, ne jamais aller seul dans l’ascenseur. Je m’imagine bien dire ça à mes propres enfants. Yacouba nous rejoindra peu après plus tard avec Agnès et Fatma, sans avoir eu le temps de manger à cause du maudit ascenseur. Tout l’après-midi il attendra le goûter.

Nous rentrons dans la médiathèque. Les garçons louchent sur les babyfoots et les ordinateurs. On va faire quoi ? Les animatrices nous accueillent. Ophélie, une bibliothécaire, explique. Les enfants doivent choisir une couleur, se mettre par deux, dessiner ou choisir un motif. Les mangas ont du succès. Une machine oblongue pré découpe les dessins numérisés sur une sorte de calque. Il faut enlever la matière en surplus à la pince à épiler. C’est minutieux. Deux animatrices passent l’après-midi pour aider les enfants. La troisième est à l’ordinateur et scanne les dessins. Ensuite poser le calque sur un t-shirt. Agnès presse et repasse. Puis il faut décoller de nouveau, délicatement. Le t-shirt est enfin prêt.

Boubacar dit qu’il aimerait faire ça toute sa vie. Les animatrices qui découpent depuis deux heures soupirent en riant. Ikram adorerait avoir cette machine chez elle. Elle a vu sur internet qu’on pouvait en acheter, elle implore sa mère. On n’a pas d’argent. Mais on pourrait faire une entreprise s’écrit-elle. Ikram n’est pas aussi timide qu’Avneet. Elle demande à Julie si certains tableaux de l’exposition iront au Louvre. Ikram a l’œil, elle dessine très bien. Elle a aussi écrit des poèmes avec sa copine Meriem. L’un d’entre eux est exposé. Un poème solaire, un peu loufoque qui leur ressemble.

Une jolie fleur sur ma tête
Un ver de terre sort du violon
Une tomate dans ma bouche
Il y en a beaucoup chez moi

On a passé la journée avec les enfants à dessiner, faire des jeux de société, jouer au babyfoot, rêver à dessiner des t-shirts toute sa vie, rire, exposer nos œuvres. On n’a pas lu un seul livre dans cette gigantesque médiathèque. Et pourtant on a touché au fondement de l’éducation artistique et culturelle en faisant fi des disparités sociales et territoriales.

Bientôt c’est l’heure de partir. Les garçons courent entre les rayonnages de livres. On compte les cartes à jouer pour s’assurer que rien ne manque. Meriem a disparu. Sa mère s’inquiète. On cherche. Croche-patte, rires. Nous prenons une photo de groupe avec les t-shirts. Adem se met de dos pour montrer son nom derrière et le numéro 7 qu’il a tracé. Vansh a choisi un dessin de Batman. Il est fier. Alain prend la photo. Annonce au micro : la médiathèque ferme. Il manque deux t-shirts à terminer. Vite. Où est Meriem ? Brigitte la retrouve dans un coin de la bibliothèque en train de lire. Nous étions quand même venus pour ça aussi non ? On remercie les animatrices. Yacouba n’a pas assez mangé au goûter, peut-il en avoir encore ? Tout le monde est prêt. On dit au revoir, nous sortons. Je compte et recompte à nouveau les enfants quand on monte dans le RER. Agnès sermonne les garçons qui s’énervent. Je descends à Vincennes, laissant les autres ramener les enfants jusqu’à Noisy. Quel calme tout à coup. Je m’assois, fatigué.

Silence. J’intuite qu’il y a une période propice à propager l’idée que le progrès, synonyme de vie désirable, n’est pas exclusivement porté ni par la technique ni par l’argent, sources de tant d’inégalités et de désastres. Plutôt par la profondeur des relations humaines. Lire, créer, s’amuser.

Et vivre. Comme cette journée qui s’achève.

Dé-peindre

Après le projet d’exposition avec les enfants, je suis contacté par la Revue Quart Monde pour proposer un article. Je trouve le thème séduisant : dé‑peindre. J’en parle à la bibliothèque de rue. Alima, Avneet, Ikram sont interrogatives. Elles ont répondu à l’annonce glissée aux mamans dans la semaine par Fatma pour venir écrire. Pour un journal ? Comme celui du métro ? Je réponds que c’est plutôt une revue. Elles sont perplexes. Nous pourrions aussi faire un journal s’exclament-elles. Avec un cahier. J’en ai un chez moi dit Alima. Si on dessinait avec des mots, que cela fasse comme un personnage réfléchit Ikram. Bonne idée. Ikram la dessinatrice prend l’initiative. Faisons une tête carrée, c’est plus facile dit-elle. J’explique que c’est un calligramme. Alima nous dit qu’elle en a déjà fait à l’école. L’histoire démarre. Brigitte est à côté de nous, je l’entends lire. Ousmane ne parle pas un mot de français. Il est venu pour la première fois la semaine dernière. Aujourd’hui il revient avec ses deux frères écouter Brigitte. Je les sens affamés de lecture. J’ai l’impression qu’il y a une sorte d’énergie de ce petit voisinage qui se déverse sur nous. Je les trouve un peu maigrichons ces nouveaux. Je me dis qu’ils ressemblent au personnage filiforme inventé ce jour-là. Petite Tête carrée. J’aime bien l’idée du calligramme. Parfois je les arrête pour qu’elles reformulent. Il faut savoir être exigeant. C’est aussi le conseil que me donne mon ami Guendouz2 quand nous parlons des ateliers artistiques. Je mesure combien l’acte artistique est un acte de transformation.

Un acte révolutionnaire, qui est dans la grande lignée de tous ceux qui ont changé le monde parce qu’ils ont apporté le meilleur de ce qu’ils avaient… Il n’y a pas d’amateurisme possible.3

L’histoire débute par un anniversaire. Celui de Petite Tête carrée (une fille, un enfant ? une petite bête ? on ne sait pas bien). Elle est heureuse. Je demande aux filles si elles se reconnaissent. Ikram avoue préférer avoir un chat comme cadeau. Pourquoi avoir mis un chien dans l’histoire alors ? C’est ainsi. Je relis à voix haute.

Gentille mince noire une petite tête
aux yeux verts gris trouve une fête
Dans la maison de la forêt
Ses frères lui offrent un chien
Elle a dix ans Petite Tête
Rose contente tu sais qu’elle est gourmande
gourmande à tête carrée
croque dans son gâteau d’anniversaire

Les filles sont satisfaites. Écris première partie ordonne Ikram. Continuons. Que se passe-t-il ensuite ? Avneet si timide est prolixe. Elle regarde à l’horizon comme si elle cherchait les mots dans le ciel. Les idées fusent.

Petite Tête carrée fait une ronde tombe dans une grotte
Un ours la pousse un coffre d’or c’est l’or de l’ours
Elle prend quelques pièces en échange d’un pot de miel

Je questionne sur les pièces d’or. Que va acheter Petite Tête ? Étrangement les filles n’ont pas d’idées. Cela n’a pas l’air si important. Peut-être que Petite Tête est riche mais elle est perdue dans la forêt.

Petite Tête carrée pleure
Elle ne trouve plus sa maison
Un chêne millénaire lui murmure
Ferme les yeux retourne toi
Sa maison est là toi tu le sais
Depuis elle vient sans cesse
Mais un bûcheron arrive
Quel beau bois
Il prend la hache
Non ! Crie Petite Tête carrée
Le chêne est vivant
Tu es bête petite tête
Ça devait bien m’arriver dit l’arbre
Le bucheron coupe
Petite Tête hurle
Veille sur mes frères ils ne parlent pas
Ils sont la ville imaginaire
Le chêne s’effondre

Ensuite, que se passe-t-il ?
Un cri
Ce n’est pas celui de l’arbre
Le cri d’une sorcière
L’amie d’enfance
Le bûcheron hurle à son tour
Quoi ?

Je nous inscris avec les trois filles à un atelier d’écriture à la médiathèque avec le poète haïtien Jean d’Amérique.

Le samedi arrive. Alima et Ikram ne veulent plus y aller car c’est le jour des anniversaires au club de sport. Fatma réussi à convaincre son fils Mohamed. Nous partons à Paris. Avneet est impatiente d’écrire la suite de l’histoire de Petite Tête mais elle aurait préféré y aller avec les filles plutôt qu’avec Mohamed. Dès qu’on franchit la porte de la médiathèque la Canopée, Mohamed demande s’il peut aller aux ordinateurs. Fatma lève les yeux au ciel. Nous cherchons l’atelier, les animatrices nous reconnaissent. On s’installe. Il n’y a que des adultes. J’avais bien vu que ce n’était pas pour les enfants. Et alors ? J’ai également donné rendez-vous à Clara, une étudiante qui fait de la poésie. Nous sommes une petite dizaine, on attend. Jean d’Amérique arrive, un mug dans les mains, la trentaine. Coiffure de Rasta, épaules rentrées. Il a l’air très timide. Comme toi Avneet, souffle Fatma. On est tous un peu impressionnés. Silence. Jean d’Amérique se présente. Il raconte comment la poésie l’a sauvé. Je trouve qu’il y a un côté messianique dans son parcours. L’écriture est sa vie. Il a déjà publié plusieurs recueils de poésie, du théâtre, un roman. Il nous dit qu’il anime souvent des ateliers pour témoigner. Avec des adultes, des enfants, même en prison. Il parle avec humilité, expliquant qu’il n’y a pas besoin d’un vocabulaire soutenu pour composer un poème. Il donne un exemple : Comment peut-on dire je pleure ? J’ai un fleuve dans les yeux. Ou bien : un fleuve danse dans mes yeux. Colette l’a si bien dit : Il faut avec les mots de tout le monde écrire comme personne4.

On se présente tous. Un type écrit du rap. Un autre reprend l’écriture après avoir arrêté pendant plusieurs années. Une femme murmure, on ne comprend pas bien ce qu’elle dit. Une autre est aveugle, une autre encore a déjà fait un atelier de poésie avec lui. C’est à notre tour. Je dis : je peins j’écris. Fatma explique qu’elle vient d’Algérie, elle anime à la bibliothèque de rue. Avneet raconte qu’elle est originaire d’Inde, elle aime les histoires. Mohamed, très à l’aise, donne son rapport particulier avec l’écriture : il fait des rédactions dans sa tête. À cet instant je sais que j’ai eu raison de les emmener.

Jean d’Amérique propose de démarrer la séquence d’écriture. Sur un tableau, il inscrit la consigne : « Je connais une ville ». On distribue feuilles et crayons. Il faut décrire une ville qui n’existe pas. Tout le monde réfléchit. Moi aussi. Je me dis que nous sommes toujours dans l’expectative, entre le besoin de tisser des liens et la nécessité d’accumuler des biens matériels du fait de cet imaginaire que la société de consommation nous impose. La ville est pleine d’hésitations. Dans cette période de manifestations, on sent un parfum de révolte. Je me demande : si la rue soulevait la ville pour inventer un nouveau monde ? Dé‑peindre ? je jette un œil sur le texte d’Avneet. Je corrige quelques coquilles. J’écris. La séance passe vite. C’est terminé. On lit chacun son tour. Mohamed est le moins timide, il commence.

Je connais une ville
Elle ne ressemble pas à Paris
Tout est plus grand
Elle s’appelle Volvité
Là-bas tout est permis
Les Pokémons et les pizzas sont gratuits
Enfin je peux tout faire

Applaudissements. Mohamed est fier. Au tour d’Avneet. Elle n’ose pas, on l’encourage. Elle se lance.

Je connais une ville
Le monde de l’arbre des animaux
Sérénité gentillesse des Dieux : Dieu de la nature, dieu du soleil, dieu des arbres
Un grand chêne est coupé
Le bûcheron est triste
Petite Tête Carrée fait de son mieux
Tous les arbres trouvent la ville amusante et dessinée
Petite Tête Carré s’amuse
Avec Petite Tête Ronde, Petite Tête Cœur, Petite Tête Étoile
Une autre amie s’appelle Petite Tête Arc-en-Ciel
Nouveaux applaudissements.

Un bûcheron accablé, une ribambelle de Dieux, des pizzas gratuites, des Pokémons et des Petites Têtes en bande organisée pour décrire une ville de liberté, d’amitié. Je repense à la leçon de Jean d’Amérique au début de la séance. Avneet et Mohamed en avaient-ils besoin ? Parfois on perçoit l’écho du monde désorienté qui nous entoure. Il suffit de penser à des instants comme ceux-là pour le dé‑peindre et le ré-enchanter. Au fond la recette s’applique partout. Il n’y a pas très longtemps, j’ai assisté à une conférence sur le sujet du changement climatique. Question d’un ton angoissé à une personne qui vit dans des conditions difficiles : mais comment tu fais pour ne pas déprimer ? La réponse avait fusé avec naturel. Moi ? Je fais du clown…

Sur la dalle des fabriques, à grands coups de poèmes, on fabrique la ville.

Peindre, dépeindre

Il est temps de conclure. Je ferme l’album. Je pense à tous les enfants que je croise le samedi, originaires de ces pays d’où les familles sont parties pour échapper à leur difficile condition. Plus généralement, je pense à celles et ceux qui doutent. J’aimerais citer de nouveau J. Wresinski à travers une sorte de profession de foi que je fais mienne :

Pour eux, nous devons être des artistes,
parce que toute vie, si pauvre soit-elle, est foncièrement belle,
et que nous devons faire de toute vie une œuvre d’art.
5

Peindre, dépeindre.
L’art et la vie.

Peindre

Peindre

© Edgar Vercelloni

Dépeindre

Dépeindre

© Edgar Vercelloni

1 Joseph Wresinski, Libérer le quart monde ou réunir les antipodes dans un monde d’amour, Extrait d’une introduction faite à une table ronde avec des

2 Guendouz Bensidhoum, artiste plasticien, volontaire permanent du Mouvement ATD Quart monde, in Médiapart, 13 Avril 2022, Trois âges de la vie : un

3 Joseph Wresinski, introduction à la session « Musique et Quart Monde », le 13 octobre 1979.

4 Colette, La retraite sentimentale, 1907.

5 Joseph Wresinski, Libérer le quart monde ou réunir les antipodes dans un monde d’amour, extrait d’une introduction faite à une table ronde avec des

1 Joseph Wresinski, Libérer le quart monde ou réunir les antipodes dans un monde d’amour, Extrait d’une introduction faite à une table ronde avec des universitaires et étudiants belges, 22/11/1972.

2 Guendouz Bensidhoum, artiste plasticien, volontaire permanent du Mouvement ATD Quart monde, in Médiapart, 13 Avril 2022, Trois âges de la vie : un témoignage politique pour garder espoir.

3 Joseph Wresinski, introduction à la session « Musique et Quart Monde », le 13 octobre 1979.

4 Colette, La retraite sentimentale, 1907.

5 Joseph Wresinski, Libérer le quart monde ou réunir les antipodes dans un monde d’amour, extrait d’une introduction faite à une table ronde avec des universitaires et étudiants belges, 22/11/ 1972.

Peindre

Peindre

© Edgar Vercelloni

Dépeindre

Dépeindre

© Edgar Vercelloni

Edgar Vercelloni

Ingénieur et artiste, Edgar Vercelloni travaille dans le domaine de la transition énergétique et met son art au service d’une transition juste. Il est engagé notamment dans le mouvement des villes en transition et est animateur dans une bibliothèque de rue d’ATD Quart Monde en Seine-Saint-Denis (France).

CC BY-NC-ND