Stephen Frears, Philomena

Film britannico-americano-français, 2013.

Marie-Hélène Dacos-Burgues et Anne de Maissin

p. 42

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Marie-Hélène Dacos-Burgues et Anne de Maissin, « Stephen Frears, Philomena », Revue Quart Monde, 234 | 2015/2, 42.

Référence électronique

Marie-Hélène Dacos-Burgues et Anne de Maissin, « Stephen Frears, Philomena », Revue Quart Monde [En ligne], 234 | 2015/2, mis en ligne le 01 décembre 2015, consulté le 29 mars 2024. URL : https://www.revue-quartmonde.org/7608

L’histoire débute dans les années 1950 en Irlande.

Comme de nombreuses jeunes filles, Philomena est rejetée de la société parce qu’elle est enceinte. Elle aboutit dans le couvent du Sacré Cœur qui héberge des filles-mères et leurs bébés qui sont nés là.

Philomena travaille dur dans la blanchisserie du couvent, et n’a le droit de voir son fils qu’une heure par jour. Son fils Anthony finit par être adopté par une famille américaine sans qu’elle ait donné son accord. Elle n’en est même pas informée.

Cinquante ans après, Martin, un journaliste anglais de Londres est licencié brutalement de son journal, et il décide d’écrire un article sur cette histoire.

L’action se passe alors dans les années 2000. Il va accompagner pas à pas Philomena dans la recherche de son enfant qui aurait donc dans les cinquante ans. Le film se passe à Londres puis aux États-Unis, avant de revenir en Irlande. Philomena pardonne aux religieuses. Le journaliste dit, lui, qu’il ne faut pas oublier.

Ce film est un des films visionnés par le jury du prix « Agir tous pour la dignité ».

Marie-Hélène Dacos-Burgues

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